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14 / 20 Je ne sais pas si je suis le seul au monde à trouver le concept graphique naïf et minimaliste de ce petit jeu (bien qu'en considérant le contexte de sa création) particulièrement intéressant... En toute sincérité, il y a un je ne sais quoi d'attractif dedans, moyennant la nostalgie de l'enfance. En tout cas le titre est excellent et laisse rêveur
 Ahah, merci pour ce commentaire et cet élan d'intérêt à l'Alchimie ! Pour la petite histoire, j'ai rêvé de la 1ere salle de ce jeu quand j'avais environ 11/12 ans, et me suis dit que cela pourrait faire un bon départ . Le jeu traînait sur un vieille disquette que j'avais dépoussiéré pendant que je travaillais sur la DemoIzArt. Pour la petite histoire, il y avait à l'origine une introduction où Banana Joe se baladait dans la ville, à notre époque. Le tonnerre gronde une fois, deux fois, puis la 3e fois, la foudre frappe le héros qui se retrouve téléporté dans le passé (où l'on trouve tout de même des ascenseurs...). Malheureusement, cette intro n'a pas pû être sauvée, le disc étant endommagé. Après m'être entraîné avec la technique des CHR$ multicolores sur ce jeu, je faisais Madball, publié dans CPC Info un peu plus tard. Des bons souvenirs, tout ça !
20 / 20Banana Joe and the Devilish Time Machine - Partie I est à l'Amstrad CPC ce que La Joconde est au Louvre. Véritable pierre angulaire du patrimoine culturel de notre jeunesse, cette production Basic ultra sophistiquée (la technique des CHR$ multicolores, quoi !) qui marque les débuts de Targhan (Orion Prime) nous propose de contrôler Joe, un rockeur fan de Billy la Banlieue, qui se retrouve téléporté au début du siècle dernier suite à sa rencontre inopinée avec une tempête temporelle célesto cosmique. Le but du jeu sera donc de retrouver quatre objets dont "un dispensable et très dur à trouver", pour reprendre les mots de l'auteur alors âgé de 12 ans (!). Au programme : une dizaine d'écrans, des plates-formes invisibles, deux ascenseurs, sept trous, un moonwalk-jump, des catacombes, un cul de sac et surtout... une mystérieuse cave à vin (tin-tin-tin !). Bref, une formidable épopée que ce Banana Joe qui laissait déjà entrevoir le potentiel créatif de l'homme, que dis-je, de la légende. Merci monsieur Targhan et merci Lorenzozéro pour l'avoir balan... pour avoir partagé ce morceau d'histoire lors du stream du Daron consacré l'Alchimie Treize. Désormais, une seule question me taraude l'esprit : à quand Banana Joe and the Devilish Time Machine - Partie II ?